Marseille ,1 breves MUNICIPALES
http://actu.orange.fr/sondage-politique/2014-le-match-des-municipales-csa_2803644.html
http://www.filma.fr/chez-masse-valls-ministre-militant/
Le mot de la fin revient à Manuel Valls : « Si demain Marseille va mieux, la France ira mieux. Alors en gagnant ici, c’est un peu la République, la France, la gauche qui gagneront ».
pour le PS marseille c'est grillé ..
il faudra trouver un autre arbre pour cacher la catastrophe ..
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Faire de l'anti-GAUDIN et se retrouver avec MENNUCCI/GHALI aux manettes de la ville serait une erreur monumentale, et on s'en mordrait vite les doits.
Je revoterai donc GAUDIN, qui quoi qu'on en dise a transformé la ville, réussi MP2013 et attiré des millions de croisiéristes et touristes alors que c'était le trou noir en 1995.
Avec son équipe renouvelée dont TEISSIER prévu a un poste clef si possible MPM ça va dans le bon sens.
BARRAGE A MENNUCCI à la Mairie, évitons nous-ça, après il sera trop tard.
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Mr Valls lâchez la grappe à Dieudonné et occupez vous que la police (qui n'est pas corrompu) arrête les délinquants et que la justice ne les relâche pas.
Encore un qui n'est pas abonné aux faits divers relatés dans La Provence. Un abonnement gratuit à notre journal pour ce ministre de l'intérieur lui serait plus bénéfique en matière d'information que tous les observateurs muselés qui lui présentent à longueur d'années des statistiques complétement tronquées.
S'il suffisait de voter à gauche ou à droite pour diminuer ou faire disparaître le chômage, cela se saurait depuis longtemps. Et c'est pour cela que les deux principaux candidats à la mairie de Marseille ont tort de s'invectiver sur l'emploi. Jean-Claude Gaudin affirme que le chômage a reculé de 20% à 12,5% dep...uis qu'il est maire. Faux rétorque Patrick Mennucci, il y a 12 500 demandeurs d'emploi supplémentaires. Au moment où le gouvernement tente de lancer le pacte de responsabilité via un allègement des charges des entreprises, un idée saluée autant par les socialistes que par une bonne partie de l'UMP, il n'est pas banal de constater que les deux hommes mènent encore une campagne à la mode des années 60. Il suffit de déclarer que l'adversaire a tout faux. Ce n'est pas avec ce genre de stupidité que les électeurs vont se réconcilier avec la politique. Au passage on peut se poser des questions sur l'énergie stupéfiante des équipes de campagne qui arrosent les médias jour et nuit avec des mails, des tweets, du facebook, perdus au milieu de leurs conférences de presse multi quotidiennes. Si la même passion était mise au service de la création d'emplois et de la recherche d'entreprises, peut-être n'en serions-nous pas là. La campagne interdit l'union sacrée certes mais l'urgence dramatique de la situation impose tout autant la retenue que de la crédibilité. Marseille et la Provence ont besoin de tous les talents pour relancer la machine économique, la guerre des chiffres ne sert à rien. Elle ne nous intéresse pas. Bien moins que le maintien ou le développement du plus modeste des emplois.
bonne journée.
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