11 mai 2014
Marseille , breves actus
Commentaires
http://blogs.mediapart.fr/blog/claude-cherblanc/260414/grande-distribution-au-carrefour-de-larnaque
https://www.youtube.com/watch?v=QGwJEkXJH7I
https://www.youtube.com/watch?v=kiTOohNrzAE
http://fortune.fdesouche.com/332967-grande-distribution-promos-prix-casses-qui-paie-laddition
Prochaine émission de CAPITAL sur M6 le 25 Mai
http://www.itele.fr/france/video/dia-confirme-la-vente-de-ses-activites-en-france-81835
http://www.lejdd.fr/Economie/Entreprises/Dia-met-en-vente-ses-activites-en-France-665369
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LA RESIDENCE DU PREFET DE POLICE DE MARSEILLE !
Les déclarations d'impôts arrivent en ce moment, ce n'est pas très bon pour le moral !
Oui à part quelques vedettes en mal de notoriété qui se disent ravies de payer des impôts, ce n'est pas le courrier le plus agréable que nous recevons. Si à peu près la moitié des provençaux paient des impôts, il n'empêche que leur montant et surtout leur utilisation font l'objet de polémiques inépuisables. D'autant que les services publics, l'état, les collectivités locales, l'hôpital, nous affirment que cela n'est jamais suffisant. Comme en prime nous n'y comprenons pas grand chose, nous payons parce que c'est obligatoire avec la double insatisfaction de ne pas obtenir suffisamment en retour et de voir une partie de la population mal vivre faute d'aides suffisantes notamment de l'état. Chacune, chacun a bien sûr une idée pour faire des économies notamment en allant chercher dans l'assiette du voisin. Les élus sont les coupables parfaits cet argent dont nous dénonçons très facilement le gaspillage, après tout ça ne coûte rien même si ça ne remonte pas forcément le moral. En première ligne les députés et sénateurs victimes expiatoires de tous nos énervements fiscaux. Régulièrement les électeurs voudraient en faire un symbole des nécessaires économies. Cela ne changerait strictement rien aux finances publiques mais ceux qui veulent ainsi réduire le salaire des parlementaires défendent l'idée de la justice par l'exemple. Toute la question est de savoir à quel niveau d'exigence, de compétence et donc de revenu nous plaçons les représentants de la république. La réalité c'est que les postes les plus consommateurs d'impôts sont dans la santé, l'éducation nationale ou la défense. Y toucher c'est forcément poser la question des emplois. Tous les gouvernements ont rêvé de supprimer l'impôt sur le revenu. Les taxes se substitueraient à cette collecte. Sauf que la TVA est injuste, elle est la même pour tout le monde. Alors que l'impôt sur le revenu reste un indicateur de nos différences.
Oui à part quelques vedettes en mal de notoriété qui se disent ravies de payer des impôts, ce n'est pas le courrier le plus agréable que nous recevons. Si à peu près la moitié des provençaux paient des impôts, il n'empêche que leur montant et surtout leur utilisation font l'objet de polémiques inépuisables. D'autant que les services publics, l'état, les collectivités locales, l'hôpital, nous affirment que cela n'est jamais suffisant. Comme en prime nous n'y comprenons pas grand chose, nous payons parce que c'est obligatoire avec la double insatisfaction de ne pas obtenir suffisamment en retour et de voir une partie de la population mal vivre faute d'aides suffisantes notamment de l'état. Chacune, chacun a bien sûr une idée pour faire des économies notamment en allant chercher dans l'assiette du voisin. Les élus sont les coupables parfaits cet argent dont nous dénonçons très facilement le gaspillage, après tout ça ne coûte rien même si ça ne remonte pas forcément le moral. En première ligne les députés et sénateurs victimes expiatoires de tous nos énervements fiscaux. Régulièrement les électeurs voudraient en faire un symbole des nécessaires économies. Cela ne changerait strictement rien aux finances publiques mais ceux qui veulent ainsi réduire le salaire des parlementaires défendent l'idée de la justice par l'exemple. Toute la question est de savoir à quel niveau d'exigence, de compétence et donc de revenu nous plaçons les représentants de la république. La réalité c'est que les postes les plus consommateurs d'impôts sont dans la santé, l'éducation nationale ou la défense. Y toucher c'est forcément poser la question des emplois. Tous les gouvernements ont rêvé de supprimer l'impôt sur le revenu. Les taxes se substitueraient à cette collecte. Sauf que la TVA est injuste, elle est la même pour tout le monde. Alors que l'impôt sur le revenu reste un indicateur de nos différences.
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commentez l'édito de jean-laurent Bernard, l'annonce de la vente des magasins Dia, c'est la démonstration que la politique des prix les plus bas a ses limites ?
Oui, pourtant les quelques 80 magasins Dia dans les Bouches du Rhône et le Var qui représentent plus de 500 salariés ont eu le vent en poupe au point même qu'il y a peu, le hard discount faisait trembler les mastodontes comme Carrefour o...u Auchan. Seulement voilà, le moins que l'on puisse dire c'est que la tenue, le remplissage des rayons et l'accueil en général, sont très variables d'un magasin à l'autre. Et certains Dia ont vu peu à peu leur clientèle diminuer justement parce que la fiabilité n'est pas au rendez-vous. Et cette politique des prix les plus bas n'a pas pu résister à l'impitoyable réaction des concurrents. Le propriétaire espagnol des magasins Dia jette l'éponge en expliquant qu'il n'a pas réussi à tenir ses promesses et donc à fidéliser ses clients français. Les habitudes des provençaux pour aller faire leurs courses ne les empêchent pas d'avoir les yeux ouverts et surtout la vigilance jamais éloignée du porte-monnaie. C'est aussi la démonstration que les consommateurs n'ont guère d'état d'âme lorsqu'il s'agit de leur alimentation. D'autant que notre pays a longtemps été une terre de développement et d'innovation pour la grande distribution. Ce qui explique sans doute pour partie à la fois l'exigence d'un service minimum et d'une qualité de base. Disons aussi que malgré la crise économique qui lamine le budget des provençaux, sans doute commence-t-on à voir poindre la naissance d'un commerce de proximité, à base de produits provençaux, plus rassurants, peut être plus sains que des rayons standardisés et lassants à force d'uniformité. bonne journée.
Oui, pourtant les quelques 80 magasins Dia dans les Bouches du Rhône et le Var qui représentent plus de 500 salariés ont eu le vent en poupe au point même qu'il y a peu, le hard discount faisait trembler les mastodontes comme Carrefour o...u Auchan. Seulement voilà, le moins que l'on puisse dire c'est que la tenue, le remplissage des rayons et l'accueil en général, sont très variables d'un magasin à l'autre. Et certains Dia ont vu peu à peu leur clientèle diminuer justement parce que la fiabilité n'est pas au rendez-vous. Et cette politique des prix les plus bas n'a pas pu résister à l'impitoyable réaction des concurrents. Le propriétaire espagnol des magasins Dia jette l'éponge en expliquant qu'il n'a pas réussi à tenir ses promesses et donc à fidéliser ses clients français. Les habitudes des provençaux pour aller faire leurs courses ne les empêchent pas d'avoir les yeux ouverts et surtout la vigilance jamais éloignée du porte-monnaie. C'est aussi la démonstration que les consommateurs n'ont guère d'état d'âme lorsqu'il s'agit de leur alimentation. D'autant que notre pays a longtemps été une terre de développement et d'innovation pour la grande distribution. Ce qui explique sans doute pour partie à la fois l'exigence d'un service minimum et d'une qualité de base. Disons aussi que malgré la crise économique qui lamine le budget des provençaux, sans doute commence-t-on à voir poindre la naissance d'un commerce de proximité, à base de produits provençaux, plus rassurants, peut être plus sains que des rayons standardisés et lassants à force d'uniformité. bonne journée.
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